Environnement de la GI-TI à Transports Canada en 2012-2013

 

1.  APERÇU

a.Contexte

Transports Canada a pour mission d’élaborer et d’administrer les politiques, les règlements et les services afin d’assurer un système de transport canadien moderne, efficace, fiable, sécuritaire et abordable. Ce sont des facteurs essentiels à la consolidation de la croissance et à la prospérité du Canada. Le Ministère est composé de groupes travaillant à l’administration centrale d’Ottawa et dans cinq régions, ainsi que dans les Centres de services de Transports Canada (TC).

Au sein du gouvernement du Canada (GC), le ministre Denis Lebel dirige le portefeuille des transports, de l’infrastructure et des collectivités (TIC). Le portefeuille du ministre comprend Transports Canada, Infrastructure Canada, l’Office des transports du Canada, le Tribunal d’appel des transports du Canada, la Caisse d’indemnisation des dommages dus à la pollution par les hydrocarbures causée par les navires et 11 sociétés d’État.

Le portefeuille constitue un point de convergence pour quelques-uns des enjeux les plus importants auxquels le Canada est aujourd’hui confronté : la productivité de notre économie, la sécurité des transports, la durabilité de l’environnement et l’importance de l’infrastructure pour la qualité de vie dans nos villes et nos collectivités. Le portefeuille regroupe également toute une gamme d’outils, dont des programmes, des lois, des cadres stratégiques et des réseaux d’intervenants.

Notre vision

Un réseau de transport au Canada qui est reconnu mondialement comme étant sûr et sécuritaire, efficace et respectueux de l’environnement.

Notre mission

Servir l’intérêt public en favorisant un réseau de transport au Canada qui soit sûr et sécuritaire, efficace et respectueux de l’environnement.

b.Organisation

Le tableau 1 illustre l’organigramme de Transports Canada.

 

TABLEAU 1

ORGANIGRAMME DU MINISTÈRE

 

Sous-ministre déléguée, Anita Biguzs

Sous-ministre adjoint, Gerard McDonald Sécurité et sûreté

Sous-ministre adjointe déléguée, Laureen Kinney Sécurité et sûreté

Sous-ministre adjointe, Helena Borges Programmes

Sous-ministre adjointe, Scott Streiner Politiques

Sous-ministre adjoint, André Morency Services généraux

Directeur général, Natalie Bossé Secrétariat ministériel

Directeur général, Dan Dugas Communications et Marketing

Dirigeante principale de la verification et de l'evaluation, Laura Ruzzier

Avocat général du Ministère, Henry K. Schultz Ministère de la Justice Canada

Directeur général régional, Marc Fortin Région de l'Atlantique

Directeur général régional, André Lapointe Région du Québec

Directrice générale régionale, Debra Taylor Région de l'Ontario

Directrice générale régionale, Michele Taylor Région des Prairies et du Nord

Directeur général régional, Michael Henderson Région du Pacifique

Groupe des politiques

  • Le rôle du Groupe des politiques consiste à élaborer, à recommander et à coordonner des politiques modales et multimodales. Il fournit aussi des conseils, des analyses et des renseignements sur des questions se rapportant aux transports, comme la performance du système et la position des intervenants. Les conseils sur les politiques possibles visent à améliorer l’efficacité, la compétitivité, la sécurité, la durabilité de l’environnement et l’intégration intermodale. Pour remplir ce rôle, il se sert d’un programme multimodal d’analyse des politiques, de séances d’information, de coordination, de consultation, d’évaluation et d’analyse économique, ce qui lui permet d’obtenir et d’utiliser les données, les prévisions, les modèles, les recherches et les renseignements nécessaires.

Groupe de la sûreté et de la sécurité

  • Le Groupe de la sûreté et de la sécurité est responsable d’établir des règles et des normes nationales, de mettre en œuvre des mécanismes de surveillance, d’examen et d’inspection, et d’offrir des programmes de subventions visant une amélioration de la sécurité dans l’aviation, la marine et les réseaux de chemins de fer et routiers. Il gère les services de transport aérien offerts aux membres du gouvernement et aux autres organismes de transport. Il établit des règles et veille à leur application, ainsi qu’à l’application de normes fédérales visant la protection du public en matière de transport de marchandises dangereuses et l’inhibition de toute intervention illicite dans les domaines de l’aviation et des transports maritime ou ferroviaire. Il veille également à ce que le Ministère soit prêt à réagir à toute urgence liée aux transports.

Groupe des programmes

  • Le Groupe des programmes doit veiller à la vitalité économique du portefeuille. Puisque l’économie canadienne dépend largement du commerce et que le commerce lui-même est tributaire d’un réseau de transport efficace, les programmes qu’offre ce groupe sont d’une importance capitale. Ils soutiennent les priorités du gouvernement et aident le ministre à atteindre ses objectifs en matière de politiques.
  • Bien que le Groupe des programmes se soit concentré sur la cession d’aéroports, de ports et d’installations de transport de surface par le passé, il met maintenant aussi l’accent sur son rôle d’administrateur et de conservateur pendant que les cessions suivent leur cours.  Il est en contact avec un grand nombre d’intervenants et il joue un rôle clé dans la mise en œuvre de projets d’infrastructures de transport durables. Ses programmes environnementaux ont pour but de sensibiliser et d’éduquer les Canadiens au sujet des transports durables. Les programmes de contribution sont complexes et font appel à une gestion axée sur le risque, avec la surveillance efficace et continue que cela comporte.

 

Groupe des communications et du marketing

  • Le rôle du Groupe des communications et du marketing consiste à assurer des communications complètes et efficaces entre les clients internes et externes du Ministère. Il se charge de superviser toutes les activités relatives aux communications.
  • Les chefs d’équipe et de région sont responsables de l’intégration de la planification et de la mise en œuvre des communications aux politiques et à la livraison, ainsi que de l’allocation des ressources nécessaires pour remplir sa mission. Le Groupe des communications et du marketing fournit des services et des conseils à ses clients ministériels, et s’assure du respect de normes élevées dans toutes les activités relatives aux communications.
  • Les services Web offrent à la fois des services pour l’Internet et l’intranet à Transports Canada (TC). Ils utilisent le Web et les technologies connexes (Twitter, Facebook, Flicker, etc.) pour communiquer de façon efficace des messages clés à nos publics externes et internes. Ils veillent à ce que le contenu et la conception du site Web de TC respectent les normes de TC et du gouvernement du Canada (GC).

Groupe des services généraux

  • Ce groupe veille à l’administration générale, aux finances, aux ressources humaines (RH), aux services à la haute direction et au soutien en GI-TI du Ministère. Les produits et services de GI-TI sont offerts selon un modèle de responsabilité partagée et un cadre bien compris au sein du Ministère en partenariat avec Services partagés Canada (SPC). Les activités centralisées sont d’ordre ministériel, tandis que les activités décentralisées sont dictées par des exigences régionales. Le groupe est aussi responsable de fournir l’accès aux dossiers de TC conformément à la Loi sur l’accès à l’information et à la Loi sur la protection des renseignements personnels. Le Bureau de l’accès à l’information et de protection des renseignements personnels (AIPRP) est responsable du traitement des demandes faites dans le cadre de ces lois.

Régions

  • Les bureaux régionaux sont responsables de l’exécution des activités régionales de Transports Canada. Les chefs régionaux relèvent directement du sous-ministre. Les principaux bureaux régionaux sont situés à Vancouver, Edmonton, Winnipeg, Toronto, Montréal et Moncton.

Personnes-ressources

Direction générale des services de gestion de la technologie et de l’information (DSGTI)
Directeur général et Dirigeant principal de l’informatique – Chris Molinski, 613-998-6465

Services de gestion de l’information (GI)
Directrice – Diane Lavigne, 613-991-2867

Architecture et planification de la GI-TI
Directeur – Joël Comeau, 613-993-8040

Services de gestion des applications (SGA)
Directrice – Tracey Boicey, 613-998-0739

Opérations de production et de gestion des services (OpsProd)
Directrice – Louise Séguin, 613-991-6559

Ressources disponibles

  • Environ 45 millions de dollars à l’échelle du Ministère pour les activités de GI-TI (comprend les dépenses en capital et les coûts de fonctionnement continu, et exclut les salaires et les traitements). Il faut noter que depuis novembre 2011, une partie importante de l’environnement physique ministériel de GI-TI et les fonds correspondants ont été transférés à SPC.
  • Dotation : équivalent temps plein en GI-TI (région de la capitale nationale [RCN] + cinq régions) = environ 245. Ce chiffre comprend environ 40 ETP de SPC qui sont intégrés dans la RCN et les régions. Il est important de noter qu’en raison de l’initiative en cours visant à regrouper les services de développement et de soutien des applications de GI-TI, le nombre d’ETP au sein de la DSGTI devrait changer dans les 12 à 24 prochains mois.

Aperçu de la technologie

  • Environ 5 500 ordinateurs personnels sont installés, la plupart étant reliés à un réseau local. Les produits de la suite Microsoft (MS) constituent la norme au Ministère, notamment Windows XP Professional SP3 et Windows Server 2003 SP2, Windows Server 2008 et Windows Server 2008 R2, MS Office 2007 et MS Exchange 2007 (courriel interne, X.400 et courriel Internet). MS Internet Explorer (IE) 7.0 est le principal navigateur Web utilisé et Mozilla Firefox 12 le second; Internet Information Services (IIS) est la plate-forme standard pour les serveurs d’applications Web. Les nouvelles applications mises au point optimiseront cet environnement. La migration vers MS Office 2007 et eDOCS DM 5.2 du Système de gestion des dossiers, des documents et de l’information (SGDDI) a eu lieu au printemps 2011.
  • Le SGDDI DM fait partie de la suite de programmes de bureautique standard du Ministère, laquelle comprend eDOCS DM 5.2 avec LiveLink RS 9.2 (iRIMS).
  • Des quelque 5 500 clients de l’intranet de TC, la moitié est située dans la RCN, tandis que le reste se trouve dans les cinq autres régions. Les ordinateurs Windows et les ressources réseau sont logiquement interconnectés et gérés par Microsoft Active Directory. TC utilise un modèle de forêt ou de domaine unique. Le niveau fonctionnel de la forêt ou du domaine Active Directory est Windows Server 2003. Un plan est en cours en vue de migrer le domaine Active Directory vers MS Windows Server 2008 R2 avant la fin de l’exercice 2012-2013.
  • Parmi les plates-formes de milieu de gamme, on retrouve HP Proliant sous Windows 2003/2008/2008 R2 et Redhat Enterprise Linux, les serveurs Itanium sous HP/UX et VMWare ESXi sur les serveurs HP Proliant. Les serveurs VMWare ESXi sont compatibles avec Redhat Enterprise Linux et Windows 2003, XP, 2000, 2008 et 2008 R2 sur des machines virtuelles (VM).  La haute disponibilité est assurée par la mise en grappe des technologies sur ces plates-formes.
  • Citrix XEN Server 5.0 est l’élément de base de l’environnement de client léger ministériel. Il a été mis en œuvre pour faciliter l’accès et l’exécution d’applications opérationnelles intégrées propres à TC.
  • Les serveurs sont regroupés dans les salles de serveurs centraux, spécialement conçus pour offrir une capacité de tolérance aux anomalies et une disponibilité allant jusqu’à 99 %.
  • L’intranet de TC est le réseau étendu du Ministère fondé sur le protocole TCP/IP; il a pour fonction d’interconnecter les réseaux locaux et les serveurs. L’intranet de TC fournit des services à 89 sites spécialisés et permet un accès externe au moyen de Citrix Access Gateway (connu à TC sous l’appellation MyDesk/MonBureau), en plus d’un service de projet d’infrastructure de clé publique (ICP) d’accès à distance sécurisé et protégé par un pare-feu.
  • Le service de vidéoconférence de TC, désigné comme VideoNet, comprend environ 50 points d’extrémité vidéo dans 13 sites à l’échelle nationale. Les points d’extrémité sont connectés sur IP à l’aide des protocoles SIP et H323 directement dans le réseau de Transports Canada. Cisco/Tandberg est la norme ministérielle pour les points d’extrémité, de même que pour les passerelles, les contrôleurs d’accès et les services de traversée de pare-feu.
  • Centrex est la norme de Services partagés Canada pour les communications vocales du Ministère, avec environ 5 500 lignes au sein du Ministère.
  • WebEx est la norme de Services partagés Canada pour les cyberconférences du Ministère.

2.  PLATES-FORMES ET APPLICATIONS ACTUELLES

a.Environnement client/serveur

  • Les installations de logiciels de bureau à TC sont réalisées à l’aide de la fonction d’installation de logiciel des stratégies de groupe d’Active Directory sous Windows ainsi que du composant du système de fichiers distribués (DFS) de Windows Server 2008 R2. On dénombre présentement 89 partages DFS dans l’ensemble du réseau de TC.
  • Windows XP SP3 est le système d’exploitation standard pour les ordinateurs de bureau.
  • Windows Server 2008 R2 64 bits est le système d’exploitation standard utilisé pour les groupes de travail, les applications, le bureau de poste électronique, les services Web et les communications réseau.
  • Parmi les environnements de serveurs, on retrouve des serveurs HP Itanium (Integrity) tournant sous HP/UX; des serveurs HP Proliant tournant sur Redhat Enterprise Linux, Windows Server 2008, 2008 R2, 2003 SP2, ainsi que l’environnement de serveurs virtuels WMware ESXi qui hébergent les ressources du Ministère pour l’entreposage de données et pour d’autres services de transmission de données.
  • Le protocole TCP/IP est utilisé par le réseau étendu.
  • Le RL emploie la technologie Ethernet.
  • TC utilise un réseau de stockage (SAN) constitué d’unités multidisques HP et Hitachi de haute disponibilité, d’une magnétothèque virtuelle IBM/Diligent VTL, de commutateurs Fibre Channel de Brocade, ainsi que de magnétothèques physiques et virtuelles.  En outre, TC utilise le système de sauvegarde CommVault de Simpana et Enterprise Vault de Symantec pour l’archivage automatique des courriels.
  • TC utilise Citrix XEN Server 5.0 pour offrir des applications ministérielles à l’échelle nationale. Dans les régions reculées dépourvues de bande passante, on recourt également à Citrix pour offrir des applications d’automatisation entière du travail de bureau ainsi que des fonctions bureautiques pour les télétravailleurs de TC utilisant TCMonBureau. (logiciel de passerelle d’accès Citrix).
  • L’outil de gestion automatisée des systèmes de TC, HP Service Manager 7.01, est fondé sur le système ITIL (bibliothèque d’infrastructure des TI). Il est utilisé à l’échelle nationale pour gérer toutes les demandes de modification et tous les problèmes de système. On utilise ce système à TC depuis novembre 2010.
  • Le tableau 2 illustre l’environnement logiciel d’un ordinateur personnel.

TABLEAU 2

ENVIRONNEMENT LOGICIEL DES ORDINATEURS DE BUREAU
Application Maintenant Avenir*
Antivirus McAfee VirusScan Enterprise 8.8, McAfee Host Intrusion Prevention 8.0, McAfee SiteAdvisor Enterprise Plus 3.5, McAfee Agent 4.6 McAfee VirusScan Enterprise 9.0, McAfee Host Intrusion Prevention 9.0, McAfee SiteAdvisor Enterprise Plus 4.0, McAfee Agent 5.0
Traitement de texte SGDDI DM / Intégration de MS Word 2007 SGDDI DM / Intégration de MS Word 2010
Tableur SGDDI DM / Intégration de MS Excel 2007 SGDDI DM / Intégration de MS Excel 2010
Logiciels de présentation SGDDI DM / Intégration de PowerPoint 2007 SGDDI DM / Intégration de PowerPoint 2010
Base de données Oracle 9i, 10g, 11g Oracle 11.2.04g
Messagerie SGDDI DM / Intégration de MS Outlook 2007 (bureau) MS Exchange 2003 (serveur) SGDDI DM / MS Outlook 2010 (bureau) MS Exchange 2010 (serveur)
Système d’exploitation de bureau MS Windows XP SP3 MS Windows 7
Navigateur

Principal - MS Internet Explorer 7

Secondaire – Firefox 13

MS Internet Explorer 9 ou une version plus récente

Firefox 14.0.1

Outils de création Web Dreamweaver CS4/CS5 avec SGCW Internet et OpenText Web Solutions

Dreamweaver CS5

 avec SGCW Intranet et OpenText Web Solutions

Sécurité

ICP et SSL d’Entrust

Contivity de Nortel

ICP et SSL d’Entrust

Contivity de Nortel

Gestion des documents

SGDDI DM

ccmMercury

Evault

SGDDI DM

ccmMercury

Evault

Gestion des dossiers LiveLink RS 9.2 (iRIMS)

LiveLink RS 9.2 (iRIMS)

ou eDOCS RM

ou Content Server 2010 RM

Autres

Adobe Reader 9.X WinZip 9.0 QuickView Plus 10.0

Citrix Program Neighbourhood Agent 10.2

.NET Framework 4

Java 6 Update 17

Adobe Reader 10.x WinZip 16 QuickView Plus 12.0

Citrix Receiver 12.1

. NET Framework 4.5

Java 7 Update .X

* L’environnement logiciel futur sera déterminé selon les besoins fonctionnels, les activités stratégiques et l’orientation en matière de GI-TI.

b.Environnement Web

Transports Canada utilise des parcs de serveurs à charge de réseau équilibrée avec des serveurs Internet Information Server (IIS) de MS pour les sites Web Internet et intranet, ainsi que les environnements sécurisés. La solution de mise en grappe Web et sa plate-forme de serveurs connexe devraient être mises à jour d’ici la fin de 2011. Une fois cette mise à jour effectuée, les serveurs contiendront les logiciels de base suivants :

  • Windows Server 2008 R2 64 bits, Internet Information Services (IIS) 7.5, pilotes Oracle Client 11g R2, IE 8.0, MDAC 6.1, XML 4.2, MSXML 6.2, moteur d’exécution Crystal Reports 10.2 (Visual Studio 2005), moteur d’exécution Crystal Reports 10.5 (Visual Studio 2008), moteur d’exécution Crystal Reports 13 (Visual Studio 2010), .NET Framework 1.1 SP1, 2.0 SP2, 3.0 SP2 et 3.5 SP1 et 4.0, TCMailer.Net 2.0 et 3.0 (une composante .NET personnalisée qui permet l’envoi de courriels, la journalisation et la gestion des erreurs), CLFPage (2.0, 2.2, 3.0, 4.0, External 1.0, module d’extension 1.0) (une composante .NET personnalisée qui fournit le système NSI essentiel pour toutes les applications Web).

c.Environnement de développement d’applications

L’ensemble d’outils de développement d’applications de TC inclut :

  • Web, Internet et intranet : MS Visual Studio, Visual Studio 2010 et Team Foundation Server 2010, Java, Dreamweaver CS4/CS5, Oracle Forms, Business Objects et Crystal Reports. Les outils suivants sont également utilisés pour la mise au point d’applications SQL : Toad pour Oracle, SQL Navigator, SQLPlus et SQLServerClient.
  • Client et serveur : MS Visual Studio 2010 (MS Visual Studio 2005 et 2008 sont les anciennes versions), Java, PowerBuilder et Centura. On considère PowerBuilder et Centura comme des plates-formes anciennes, et l’utilisation de MS Access n’est prise en charge que pour l’application bureautique pour un utilisateur unique. Nous avons déjà amorcé une transition vers une architecture des applications axée sur les services (AAS), en accordant une attention particulière à la conception d’applications multiniveaux et de clients intelligents.
  • Team Foundation est le principal dépôt de codes et le système de suivi des éléments de travail de Transports Canada.
  • Des applications de base de données nécessitant une intégration prête à l’emploi avec le SGDDI DM, ou des capacités de surveillance du flux de travail sont élaborées à l’aide de l’outil ccmMercury.
  • Gestion des formulaires : TC a adopté Adobe LiveCycle Designer en tant que norme pour la création et la modification des formulaires ministériels. La publication est facilitée par le système de gestion des formulaires, une application .Net de client/serveur mise au point à l’interne. Les clients peuvent accéder à tous les formulaires PDF publiés et imprimés au moyen des catalogues de formulaires internes et externes de TC. Les formulaires sont visualisés par défaut avec le lecteur PDF Adobe Reader, qui fait toujours partie des logiciels de base installés sur les bureaux de TC. L’application Web du Catalogue des formulaires (qui permet de stocker tous les formulaires électroniques et imprimés et d’y accéder) a été modifiée en vue d’utiliser Adobe Acrobat. On utilise LiveCycle Extension 8.2 pour le prolongement des formulaires PDF. Le prolongement d’un formulaire PDF permet de sauvegarder un formulaire ouvert au moyen d’Adobe Reader.
  • TC a évalué, acquis et installé Adobe Acrobat LiveCycle Designer 8 comme nouvel outil de conception de formulaires normalisés. Les formulaires PDF prolongés peuvent être modifiés et enregistrés au moyen d’Adobe Reader, un logiciel installé sur tous les ordinateurs de bureau comme application de base.
  • TC utilise la suite d’outils de modélisation CA ERwin pour la mise au point et la gestion des métadonnées au sein du Ministère. La suite se compose de Model Manager (dépôt de métadonnées), d’Erwin Data Modeller, d’Erwin Process Modeller et de Model Navigator. Ce cadriciel est composé de modèles fondés sur des normes internationales, sur une approche commerciale commune et sur les catégories de domaines de données relatives aux secteurs d’activités de TC. Notre objectif est de créer, à l’échelle ministérielle, un ensemble de modèles qui s’appuient sur le partage de données et d’information, la normalisation, l’intégrité des données et la possibilité de les réutiliser.
  • Le système de gestion de bases de données Oracle® est le système de gestion de bases de données standard pour les applications nationales, ministérielles, Internet et extranet. Toutes les applications ministérielles de TC utilisent le logiciel de gestion de bases de données Oracle. On compte plus de 600 utilisations horizontales du logiciel au sein du Ministère (perfectionnement et formation, acceptation et production). Le logiciel de gestion de bases de données Oracle constitue la norme ministérielle pour toutes les applications ministérielles. Le soutien de l’infrastructure Oracle de TC est assuré par sept administrateurs de bases de données des plus compétents formés par Oracle qui fournissent de l’assistance sur appel en tout temps pour les applications Oracle de TC. L’infrastructure de bases de données de TC comprend la licence d’utilisation, les outils, les processus et, surtout, le soutien technique pour le système de gestion de bases de données (SGBD) Oracle; les applications de TC; l’environnement Internet Oracle sécuritaire (zone démilitarisée [DMZ] Oracle) utilisé par toutes les applications Web de TC; la sauvegarde et la récupération des données essentielles; l’analyse et la résolution de problèmes; l’analyse et l’optimisation de la performance; l’installation, la mise à l’essai et la réalisation des mises à niveau et des correctifs d’Oracle pour gérer les vastes environnements Oracle. Bien que TC ait d’autres outils de bases de données, ils sont limités aux applications verticales destinées aux groupes de travail ou sont utilisés en conjonction avec des logiciels de Microsoft comme MS Exchange Storage Management, ou encore avec Citrix Implementation ou Team Foundation Server.
  • TC a acquis et installé les produits SAP BusinessObjects suivants à titre de norme ministérielle pour les renseignements d’affaires aux fins de production de rapports et d’analyse : SAP BusinessObjects Enterprise Premium (pour les rapports et analyses standard, ponctuels et multidimensionnels); Crystal Reports, Desktop Intelligence, Web Intelligence, et BusinessObjects Dashboards.
  • L’application Web Macroscope ProductivityCentre (anciennement DMR) de Fujitsu est utilisée comme outil de méthodologie de cycle chronologique de l’élaboration des systèmes du Ministère. TC recourt également aux services de Voie de communication protégée de Services partagés Canada pour ses applications Web de renseignements de niveau « Protégé B » accessibles aux utilisateurs externes et nécessitant une authentification. La nouvelle solution de clé d’accès de la Voie sécurisée remplacera le laissez-passer électronique pour la Voie de communication protégée. TC dispose maintenant d’un processus de fédération des justificatifs permettant de tirer parti des justificatifs d’identité des institutions financières aux fins d’authentification. En outre, la clé d’accès sera bientôt remplacée par un nouveau justificatif d’identité du gouvernement du Canada intitulé Vérifiez.Moi. Le Ministère utilise également le service de protocole de transfert de fichiers protégé de la Voie de communication connu sous le nom de transfert sécurisé de fichiers. Il est important de noter que la mise en œuvre de ce protocole à Transports Canada sera nommée « Transfert sécurisé de fichiers de TC ».
  • TC a mis au point une solution pour ses applications Web de renseignements « Protégé B » accessibles aux utilisateurs internes, qui est fondée sur Entrust Truepass et Entrust SDK, ainsi que sur Oracle Advanced Security.

d.Intranet de Transports Canada (ITC)

  • Le réseau ITC, un réseau à l’échelle du Ministère et fondé sur le protocole TCP/IP, a été mis en place afin de mettre en réseau tous les bureaux de TC au Canada. Il s’agit d’un réseau par routeurs qui prend en charge la connectivité RL Ethernet 10/100/1000 Base T.
  • Un système sans fil est en place dans la Tour C de la RCN ainsi que dans un certain nombre de bureaux régionaux et centres de service.
  • Les serveurs de RL sont interconnectés à l’intérieur de l’ITC, ce qui assure un accès sécuritaire aux principaux services ministériels.
  • Le système de défense périphérique fournit un accès et des passerelles sécuritaires aux services externes (p. ex., le réseau X.400 du gouvernement et Internet). Il comprend un pare-feu, un système de détection d’intrusion et des agents hôtes pour antivirus.
  • La commutation multiprotocole par étiquette (MPLS) est actuellement employée comme structure de base des réseaux étendus et elle peut accepter le mode de transfert asynchrone (MTA) pour la transmission haute vitesse de voix, de données, de vidéos, etc. Le Service gouvernemental de réseau optique a été introduit dans les régions métropolitaines où sont situés des bureaux de TC. La commutation multiprotocole par étiquette fait partie des services des réseaux de production.
  • L’ITC est un service qui est désormais fourni par Services partagés Canada (SPC).
  • L’ITC permet d’accéder au répertoire X.500 du gouvernement du Canada et assure des capacités à distance sécurisées pour les utilisateurs d’appareils sans fil et les télétravailleurs.
  • Le logiciel ICP d’Entrust a été installé sur chaque ordinateur de bureau de TC. Il assure un échange sécurisé de l’information électronique créée à l’aide du système de messagerie national de TC, de MS Exchange, tant en interne qu’entre les gouvernements et les organismes privés qui participent au modèle de l’ICP. Une infrastructure de service Web sécurisée, fondée sur la technologie Entrust, est en voie de mise en œuvre pour les applications nécessitant un tel niveau de sécurité. TC possède une infrastructure sécurisée d’intranet pour les applications Web « Protégé B » sur l’intranet qui utilise Entrust Truepass.
  • Un service national d’accès à distance sécurisé a été créé afin de répondre aux besoins d’un effectif de plus en plus mobile. En plus de fournir un service normalisé pour l’accès à distance aux services de courriel et de réseau local par des télétravailleurs en dehors des heures de travail, le service répond au besoin essentiel de soutien des inspecteurs itinérants durant les heures de travail. On utilise Webmail et MyDesk pour répondre à d’autres besoins de connectivité (Logiciel de passerelle d’accès Citrix).
    • Ce service est mis à la disposition de tous les membres des bureaux régionaux qui peuvent s’en servir au moyen d’un accès distant par ligne commutée, et il leur garantit un accès sécurisé à leur environnement de travail électronique, peu importe l’endroit où ils se trouvent ou le moment de la journée.
    • Ce service est maintenant offert par SPC et il intègre l’utilisation de l’ICP pour tous les utilisateurs de TC à distance.
    • On dénombre 15 sites connectés par ligne d’abonné numérique (DSL) ou par câble grâce à la technologie pour l’accès à distance passerelle à passerelle protégé. Ce service est actuellement disponible sur une base ponctuelle.

e.Environnement de prestation de services électroniques

  • TC se sert actuellement de 130 applications nationales pour offrir ses programmes et répondre à ses propres exigences administratives (ces applications font partie des quelques 400 applications inscrites au registre des applications du Ministère). Ces applications sont exécutées dans un environnement mixte, à savoir un réseau local (le modèle client-serveur est notre ancien environnement) et les environnements intranet et Internet (plate-forme prédominante pour la mise au point de toutes les nouvelles applications). La technologie client léger (Citrix Metaframe) a été installée en vue de faciliter l’accès aux applications Enterprise. TC encourage fortement l’utilisation de solutions commerciales de base (SCB), de solutions partagées et la signature d’ententes par groupe, le cas échéant.
  • TC a élaboré un cadre de gestion des applications (CGA) dans lequel on propose des normes, des directives et des pratiques exemplaires pour la mise au point et le soutien des applications. Le CGA est un plan détaillé servant à la planification, à la mise au point, à la mise en œuvre, au maintien et au soutien de systèmes d’applications de gestion de TC. La pierre angulaire du CGA est l’outil de méthodologie Fujitsu Macroscope.
  • TC s’est doté d’un service Web interne (intranet) et d’un service Web externe (Internet) auquel le public a accès. La plateforme utilisée pour ces environnements comprend les produits prédominants suivants : pilotes Windows Server 2008 R2 64 bits, Internet Information Services v.7.5 et Oracle Client 11g R2, moteur de recherche Google pour intranet et Internet, et Dreamweaver CS4. Une solution de gestion du contenu Web pour l’entreprise (Open Text Web Solutions, autrefois connu sous le nom de RedDot) fait l’objet d’une mise en œuvre progressive qui a commencé en 2008-2009 et qui se poursuivra jusqu’au 31 mars 2013. La portion Internet est terminée.
  • Les sites intranet et Internet sont conformes à la version 1.1 des politiques et directives de normalisation des sites Internet du GC. TC est sur le point d’appliquer les Lignes directrices sur l’accessibilité des contenus Web (WCAG) 2.0 à tous ses sites Web et applications de gestion externes destinés au public. Le Conseil du Trésor a déterminé que la mise en application des Lignes directrices sur l’accessibilité des contenus Web (WCAG) 2.0 devrait être achevée d’ici juillet 2013. Les clients et le public peuvent actuellement :
    • obtenir des renseignements généraux à propos de Transports Canada, y compris des discours et des communiqués de presse;
    • obtenir des noms et des numéros de téléphone inscrits dans l’annuaire de Transports Canada;
    • prendre connaissance des lois, des règlements et des politiques de TC;
    • examiner et commenter les modifications apportées aux règlements;
    • interroger les données d’enregistrement des aéronefs et des navires canadiens.
  • Des serveurs de développement et d’acceptation d’applications Web (DEV et ACC) ont été mis en place afin d’offrir une meilleure capacité de programmation de codes d’applications et de bases de données. Ils permettent également d’améliorer grandement l’environnement d’intégration et d’essai pour l’utilisateur. VMware est utilisé à grande échelle dans cet environnement.
  • Transports Canada a entrepris il y a quelques années une étude connue sous le nom d’Étude sur l’examen et la consolidation des applications de TC (EECA), en vue de déterminer la nécessité d’élaborer des applications et des plans d’évolution à long terme (y compris un examen des économies possibles).  L’étude a souligné la nécessité de passer à une architecture axée sur le service, en plus de proposer certaines options visant à réduire les coûts de nos processus de planification de bout en bout et de gestion de systèmes.  Depuis, un certain nombre de modules de services Web ont été mis au point pour offrir des services d’accès communs à des données de base, et une étude a été menée sur le procédé de mise en œuvre d’un répertoire UDDI (Universal Description, Discovery and Integration) à TC.
  • L’annuaire de TC permet aux gestionnaires et aux employés de gérer leurs renseignements personnels et d’obtenir rapidement les services et les biens de TC directement dans l’environnement Web. L’annuaire de TC regroupe les annuaires existants. Il gère automatiquement le système et les comptes d’applications ainsi que la fonction de filtrage de sécurité, et il contribue à la promotion et à l’application de mesures de sûreté et de sécurité pour les édifices et les réseaux de TC. L’annuaire de TC est une application .NET mise au point et entretenue à l’interne qui intègre Exchange, Active Directory, TIPS et R12.
  • TC a récemment effectué une mise à niveau d’Oracle ERP vers Oracle R12. Les services électroniques comprennent un module de paiement en ligne (paiements Oracle), les créances électroniques, la gestion électronique des commandes et de l’inventaire des produits de TC vendus au public et une interface de navigateur Web rendant l’utilisation du système beaucoup plus efficace et efficiente. On utilise un module personnalisé I-Expense (dépenses électroniques) pour gérer les demandes de remboursement de frais de déplacement des employés (iTravel). Pour respecter les exigences du Conseil du Trésor, une interface API a été mise en place afin de garantir que toutes les transactions par carte de crédit sont traitées par l’entremise du BARG (bouton Achat du receveur général) de TPSGC.
  • La sélection des fournisseurs de services électroniques fait maintenant partie des activités régulières de planification des investissements du Ministère en matière de GI-TI.

f. Environnement des systèmes administratifs

  • Le système Enterprise Business Suite d’Oracle permet au Ministère d’intégrer ses ressources financières et matérielles. Il est fondé sur la suite d’applications Oracle Financials 12 (Oracle R12.1.3) et compatible avec les clients légers de Citrix MetaFrame. La suite d’applications de base d’Oracle comprend les comptes fournisseurs, les comptes débiteurs, le grand livre, les immobilisations, les achats, l’approvisionnement par voie électronique (pour les besoins internes de TC seulement), les paiements Oracle, les créances électroniques, la boutique virtuelle, le système de facturation de TC et diverses interfaces permettant d’accéder aux systèmes internes de TC et à des systèmes externes comme celui du Receveur général du Canada. La technologie Portal (10g) d’Oracle a été introduite afin de créer un portail pour les employés et un portail pour les gestionnaires servant à diffuser des renseignements financiers. Cette technologie a été utilisée avec succès par des centaines d’utilisateurs de TC.
  • TC offre un soutien relatif aux processus aux professionnels des RH qui travaillent dans ses bureaux dans tout le Canada. Ceci est rendu possible grâce à son Système intégré du personnel (SIPT), une suite de dix-sept applications intégrées servant à appuyer les diverses disciplines des RH. Les applications du SIPT utilisent la plate-forme Gupta Centura Team Developer (v.3) et elles partagent une base de données commune des RH du Ministère (Oracle 11g). Le SIPT est actuellement une solution de système partagé pour CSA et CED_Q et offre de nombreuses fonctions, comme un lien direct vers le Système régional de paye de TPSGC. Le libre-service offert aux gestionnaires, aux employés et au public canadien est fourni au moyen d’une plus petite suite de huit applications Web sur diverses plates-formes qui utilisent toutes la même base de données des RH du Ministère. Parmi celles-ci, on retrouve LEX, qui offre un soutien complet au flux de travail des congés et des heures supplémentaires, un portail de services des RH à identification unique, la production automatisée d’un organigramme et une fonction de publication HTML maintenant offerte aux gestionnaires. D’importantes modifications ont été apportées à ces applications au cours des 18 derniers mois pour qu’elles soient conformes à la Loi sur l’emploi dans la fonction publique (LEFP) et à la Loi sur la modernisation de la fonction publique (LMFP), qui entrent en vigueur bientôt, et pour améliorer l’efficacité des options de libre-service comme le traitement en ligne des Demandes de service en ressources humaines (DSRH), le Système de suivi automatisé des plaintes du Tribunal de la dotation (SSAPTD) et le Système de gestion des activités de dotation (SGAD).
  • Le système de courrier électronique du Ministère, qui relève désormais de SPC, continue d’évoluer de façon à respecter les exigences relatives aux communications électroniques internes et externes. Une architecture fondée sur les règles de MS Exchange 2007 permet aux utilisateurs de gérer de façon dynamique l’entrée et la sortie des renseignements électroniques au moyen d’une interface visuellement intuitive. Outlook Web Mail a été activé afin de permettre aux employés de TC d’accéder à leurs courriels ministériels par Internet. Tous les serveurs qui font partie de l’infrastructure de courriel ministérielle ont été transférés à SPC.

g.Initiatives et environnement relatifs à la gestion de l’information

  • Le Système de gestion des dossiers, des documents et de l’information (SGDDI DM) fait partie de l’initiative des systèmes partagés du GC. Ce système a été installé au départ sur chaque ordinateur de bureau de TC en août 2002. Le SGDDI DM est un ensemble intégré d’outils et de règles qui facilitent la création, la saisie, le stockage, l’organisation, la récupération, le partage, la réutilisation, la protection et l’élimination de l’information dans un environnement électronique, sans tenir compte du format et sans barrières géographiques ou organisationnelles. Il s’agit d’un élément essentiel de l’infrastructure dont le gouvernement a besoin pour offrir son programme de gestion de l’information. La mise en œuvre du SGDDI DM de TC permet le stockage de renseignements non classifiés et de niveau « Protégé A ». La possibilité d’y stocker des renseignements « Protégé B » doit faire partie de l’évolution du SGDDI DM. Le SGDDI DM est le service d’information essentiel qui soutient la politique du GC sur la GI et ses directives. Les fonctionnalités principales du SGDDI DM comprennent :
    • Gestion des documents : stockage et récupération des documents électroniques ou d’autres types de produits d’information, contrôle de l’accès, contrôle des versions et historique des documents;
    • Gestion des dossiers : gestion du cycle de vie des dossiers et des documents, classification, conservation et élimination;
    • Recherche plein texte : recherche selon le contenu et récupération d’un document;
    • Déroulement des opérations : flux défini d’information vers les personnes et processus conformes aux règles. L’intégration de ccmMercury au SGDDI DM offre une fonction de flux des travaux;
    • Imagerie : numérisation, visualisation et reconnaissance optique de caractères pour créer un texte modifiable à partir d’images.
    • Production de rapports : rapports normaux et spéciaux.
  • Le Ministère a comme objectif de tenir à jour un dépôt de documents complet afin d’assurer le partage et la gestion efficaces des renseignements du Ministère sous forme de documents.
  • Déroulement des opérations : ccmMercury est l’application principale du Ministère qui permet aux unités fonctionnelles de surveiller et de gérer des processus et des flux de travaux ponctuels ainsi que d’assurer le suivi des tâches, des documents et d’autres éléments tels que  les documents de la haute direction, la correspondance, les projets, les bons de travail, les permis, les appels téléphoniques, les rapports de surveillance et d’inspection, les correctifs de sécurité pour les applications, les foires aux questions, les ententes, etc. ccmMercury est intégré au SGDDI DM, ce qui permet un déroulement des opérations plus efficace pour les unités fonctionnelles qui exigent un suivi tout en garantissant que les documents joints sont stockés et conservés dans le dépôt d’archives ministériel. Cette combinaison a permis l’élaboration de processus opérationnels plus efficaces dans plusieurs unités fonctionnelles et elle incite à la prise d’initiatives semblables ailleurs. À ce jour, plus de 30 applications de base de données ont été créées à l’aide de ccmMercury, qui s’avère une plate-forme de développement d’applications rentable et efficace.
  • On utilise le Système informatique de gestion des dossiers sur Internet pour gérer les anciens documents imprimés et Livelink (SGDDI DM) pour les documents électroniques. TC utilise un système automatisé de traitement des étiquettes afin de gérer les adresses, les publications, les symboles d’acheminement et les abonnements afin de produire des rapports et des étiquettes destinées aux envois postaux d’envergure.
  • TC s’est engagé à respecter la politique du gouvernement du Canada sur la gestion de l’information gouvernementale et à respecter la nouvelle politique sur la GI du Secrétariat du Conseil du Trésor (SCT). TC a donc élaboré des plans stratégiques de mise en œuvre de la GI qui contiennent des activités détaillées couvrant tout le domaine de la GI. Ces activités comprennent :
    • l’élaboration et la mise en place d’instruments de politique en matière de GI, comme la directive de TC sur la GI, la directive sur les procédures de GI de TC lors du départ des employés, la norme sur les périodes de conservation des copies de sauvegarde de TC et les normes relatives aux métadonnées pour l’administration des données de TC;
    • un cadre de gouvernance en matière de GI-TI;
    • l’élaboration d’un programme de formation nationale continue et durable sur la GI;
    • un plan de relève en gestion de l’information pour la RCN;
    • l’adoption de normes relatives aux métadonnées pour l’ensemble de TC;
    • l’examen et l’inclusion des principes de GI dans le cycle de développement de systèmes du Centre de Productivité Macroscope, dans le processus du Comité de contrôle des changements de TC, dans le processus relatif aux documents d’approbation de programmes, dans le processus de justification des logiciels non normalisés, dans les documents contractuels et dans d’autres types de documents;
    • la mise au point d’une méthode de vérification de la conformité de la GI;
    • l’élaboration d’un cadre de mesure du rendement en GI.
  • TC a défini un cadre et des normes liés à l’administration des données pour assurer la mise au point et l’entretien d’applications, la modélisation de données, l’évaluation des besoins en information, l’élaboration de plans de GI et l’entreposage de données.  Il existe trois documents qui traitent de l’administration des données à TC :
    • le cadre sur les métadonnées pour l’administration des renseignements de TC;
    • les normes relatives aux métadonnées pour l’administration des renseignements de TC;
    • le Guide de référence pour l’administration des données de TC;
    • les normes de modélisation dimensionnelle de données de TC;
    • La norme du Conseil du Trésor sur les données géospatiales est entrée en vigueur le 1er juillet 2009. Tous les ministères fédéraux doivent s’y conformer d’ici au 31 mai 2014. TC travaille afin de s’assurer que cette norme est respectée (et plus particulièrement la norme ISO 19115 sur les données géographiques et les métadonnées, et la norme ISO 19128 sur les données géographiques et l’interface de carte du serveur Web prescrites en vertu de la norme du Conseil du Trésor).
  • À la suite du lancement de la politique de gestion de l’information du SCT en juillet 2007 et des directives connexes (directive sur les rôles et les responsabilités en matière de GI d’octobre 2007 et directive sur la tenue des documents de juin 2009), TC a examiné et mis à jour toutes ses normes, ses directives et sa documentation relatives à la GI (séances de sensibilisation à la GI, directive ministérielle sur la GI, etc.). Une nouvelle stratégie et un nouveau plan d’action annuel relatif à la GI de TC ont été créés en 2008 et sont examinés tous les ans. Le plan stratégique actuel en matière de GI de TC est mis à jour annuellement afin de satisfaire aux exigences de mise en œuvre de la Politique du GC sur la GI, aux autres instruments de politique des organismes centraux, ainsi qu’aux besoins changeants en matière de GI du Ministère au cours des quatre prochains exercices financiers.
  • TC a tiré parti de la méthode de vérification de la conformité de la GI initiale et a procédé à un premier essai de vérification de la conformité de ses Services de vérification et de conseils. Depuis cet essai, d’autres examens de la conformité de la GI ont été réalisés à l’échelle nationale. Les essais se poursuivront à l’avenir.
  • Collaboration et technologies du Web 2.0 – On peut définir la collaboration comme étant une relation mutuellement bénéfique et bien définie entre deux personnes ou organisations et plus en vue d’atteindre des objectifs communs. Les technologies collaboratives et celles du Web 2.0 sont utilisées dans le cadre de programmes qui permettent aux gens de travailler ensemble, peu importe où ils se trouvent, et comprennent des outils de réseautage social (Facebook, Twitter, Youtube, etc.). De tels programmes permettent notamment le partage de calendriers, d’horaires et de fichiers, la rédaction collective, la gestion des courriels, les communautés de pratique, les consultations publiques, les babillards électroniques, l’accès partagé aux bases de données, les réunions électroniques, la messagerie instantanée, etc. TC a procédé à une analyse approfondie des besoins des utilisateurs et avance à grands pas en ce qui concerne la mise en œuvre des technologies du Web 2.0, laquelle tient compte des répercussions sur la GI (se reporter au projet de GI-TI 16 ci-dessous).
  • Un certain nombre de projets d’entreposage de données sont terminés, dont ceux des accidents aériens, ferroviaires et maritimes. L’achèvement du projet de rapport sur le système BIRM ORACLE 11i à l’aide de la méthode d’entreposage des données constitue une étape importante dans l’entreposage de données du Ministère. De nouvelles initiatives en cours permettront d’élargir la portée et la capacité de l’entrepôt de données, notamment l’Infrastructure du renseignement d’affaires en aviation (IRAA). On organisera aussi des activités pour accroître l’étendue des tables principales de TC en établissant un ensemble plus vaste de données de référence à utiliser avec les applications.
  • La plate-forme et les outils de renseignements d’affaires de Business Objects ont été mis en œuvre afin de répondre aux besoins relatifs aux rapports et à l’analyse de divers groupes d’utilisateurs de TC. Les utilisateurs occasionnels et les infoconsommateurs peuvent se servir des différentes interfaces Web (InfoView, Oracle Portal, etc.) pour accéder au contenu, de Crystal Reports pour la production de rapports à l’échelle du Ministère, de Web Intelligence et de Desktop Intelligence pour les grands utilisateurs et les analystes, et de Xcelcius pour l’analyse de tableaux de bord. Le Ministère profitera d’une approche d’entreposage de données et de production de rapports sur les systèmes opérationnels et de l’utilisation du logiciel de veille stratégique pour :
    • accélérer la définition des nouveaux indicateurs de rendement;
    • permettre la création et la mise au point par étape de mesures de rendement intégrées dont une réelle valeur fonctionnelle peut être tirée (p. ex., la moyenne des coûts et de l’inspection par mode et par type d’inspection);
    • permettre une compréhension uniforme des tendances et des mesures de rendement dans tout le Ministère;
    • éliminer les redondances dans la collecte et l’analyse des données;
    • améliorer l’analyse et le compte rendu des données opérationnelles;
    • réduire ou éliminer les comptes rendus sur papier, un avantage apprécié de la plupart des organismes qui utilisent un entrepôt de données.

h.Normes relatives à la gestion de la sécurité des technologies de l’information (NGSTI)

  • Les NGSTI (normes du SCT) établissent les critères de sécurité fondamentaux que tous les ministères doivent remplir afin de garantir la sécurité de l’information et des biens liés à la technologie de l’information, ce qui constitue l’objet principal des efforts du gouvernement en ce qui a trait à la sécurité de la GI-TI. TC se conforme aux NGSTI.
  • Les priorités de TC en matière de sécurité de la GI-TI sont les suivantes :
    • inclure les objectifs stratégiques en matière de sécurité de la GI-TI dans le nouveau plan de sécurité en GI-TI du Ministère;
    • poursuivre un programme amélioré de sensibilisation à la sécurité;
    • mettre davantage l’accent sur les responsabilités des gestionnaires et des employés;
    • protéger les éléments d’actif de Transports Canada contenant des renseignements sensibles;
    • améliorer le cadre de travail servant à la surveillance et à la vérification;
    • mettre en œuvre des outils avancés en matière de sécurité de la GI-TI.

3. ÉLÉMENTS INFORMATIQUES MOTEURS

Le tableau 3 décrit certaines des principales influences qui auront une incidence sur les activités informatiques au sein du Ministère.

La GI-TI a pour objet d’assurer la prestation de services et de répondre aux besoins fonctionnels. La mise au point, la mise en œuvre et le soutien d’applications doivent être effectués en étroite collaboration avec les secteurs d’activités concernés. Étant donné que les besoins fonctionnels dictent les activités de la GI-TI, le Ministère doit :

  • trouver des possibilités et en tirer profit en coordonnant ses plans et ses initiatives au moyen de processus de gouvernance, de communication et de planification améliorés;
  • équilibrer tant les grandes initiatives à l’échelle du Ministère que celles de moindre envergure;
  • intégrer la GI-TI au processus de planification des activités.

Les priorités, les besoins et les possibilités en matière de GI-TI des gammes de services de TC supposent dix principales priorités communes de GI-TI à l’échelle du Ministère :

  • Intégration, interopérabilité et échange de l’information, y compris la fusion et la rationalisation des systèmes d’information existants;
  • Renseignements d’affaires, y compris les outils de production de rapports ministériels et les outils d’entreposage de données et de renseignements d’affaires pour l’accès à l’information, l’analyse de l’information et la production de rapports financiers et non financiers.
  • Gestion des documents et de l’information : plan à long terme pour la mise à niveau du SGDDI DM en passant de eDOCS 5.2 avec LiveLink RS 9.2 (iRIMS) à eDOCS 5.3 ou 5.4, ou à Content Server 2010 DM de pair avec eDOCS RM ou Content Server 2010 RM, formation continue en GI, intégration de la GI aux applications et élaboration et mise à jour du plan stratégique de GI pour les exercices 2010-2011 à 2013-2014.
  • Sécurité : signature électronique, authentification, confidentialité et chiffrement des documents, capacité d’héberger des documents de niveau « Protégé B » dans un dépôt électronique (SGDDI DM; mis en attente), information et communications électroniques.
  • Amélioration des services internes : systèmes d’information spécialisés, notamment les systèmes d’information géographique (SIG), les applications sans fil ou mobiles destinées aux travailleurs, les solutions collaboratives, les nouveaux outils de bureau (les migrations vers MS Office 2007, MS Exchange 2007 et SGDDI DM 5.2 ont eu lieu au cours de l’exercice 2010-2011).
  • Prestation de services externes : initiatives qui fournissent des données électroniques et des capacités de transaction et de collaboration aux intervenants externes.
  • Communications : infrastructure de pointe et suffisamment protégée offrant un accès rapide aux utilisateurs mobiles et à distance.
  • La structure de gouvernance du Ministère en matière de GI-TI a évolué et comprend désormais un Conseil des activités de la GI-TI, un Comité d’investissement de la GI-TI et un Comité de l’architecture et des normes de la GI-TI composés de cadres supérieurs de programmes et de la GI-TI. Le Conseil agit comme agent de liaison entre TC et le Comité de gestion exécutif (CGX) par l’entremise du sous-ministre adjoint des Services généraux. En tant qu’entité ministérielle de gouvernance, le Conseil établit des principes fondamentaux et des lignes directrices pour la GI-TI, recommande certains investissements (les recommandations proviennent du Comité des investissements pour les activités de GI-TI) pour répondre aux besoins du programme, approuve les normes et l’architecture de la GI-TI (le Comité de l’architecture et des normes de la GI-TI formule des recommandations à ce sujet) et assure une planification intégrée des projets de GI-TI à l’appui de l’exécution des programmes. Le 1er avril 2009, le Bureau de la gestion et de l’évaluation de projets (BGÉP) a été mis sur pied dans le but de tirer parti de la structure et des processus de gouvernance de la GI-TI et d’améliorer la gestion globale des projets de GI-TI. L’objectif premier du BGÉP est de faciliter la réalisation des projets de GI-TI par les diverses ressources communautaires dans le domaine des programmes de GI-TI au sein de TC. Le BGÉP appuie la Politique sur la gestion des projets et la Politique de planification des investissements (actifs et services acquis) du Conseil du Trésor, et s’y conforme. Comme les consignes énoncées dans ces politiques l’exigent, le BGÉP continue à créer des fonctions au sein du Ministère pour améliorer la gestion globale des projets de GI-TI.
  • Grâce au remaniement de la structure de gouvernance de la GI-TI, le Plan stratégique et d’investissement en GI-TI de TC a été approuvé et évoluera afin de répondre aux exigences du Ministère découlant de l’orientation et des priorités fonctionnelles de TC. Le plan consiste principalement à guider l’élaboration et la gestion des politiques sur l’environnement de GI-TI au sein de TC en vue de contribuer à l’exécution efficace des programmes et de répondre au large éventail de besoins de la clientèle en constante évolution. La clientèle est variée. Elle comprend notamment des intervenants externes qui aident à façonner les politiques, des entreprises et des citoyens qui transigent avec TC, ainsi que des employés de TC qui travaillent de concert avec des clients externes, d’autres ministères et d’autres paliers gouvernementaux afin d’assurer les meilleurs systèmes de transport qui soient pour le Canada et les Canadiens.
  • Le Plan stratégique et d’investissement en GI-TI de TC jette les bases d’un programme d’investissement en GI-TI axé sur les activités fonctionnelles, qui garantit que tous les investissements dans l’ensemble des secteurs d’activités contribuent au succès du Ministère, à l’optimisation des bénéfices industriels et commerciaux et à la réduction au minimum des risques. Le plan stratégique et d’investissement en GI-TI de TC sera réalisé grâce à une combinaison de réductions et de gestion prudente des coûts, en réalisant des économies et des investissements en GI-TI dans de nouveaux projets (études de faisabilité, projets pilotes, nouveaux projets et améliorations), et en s’assurant que les buts et objectifs de GI-TI qui ne font pas l’objet d’investissements précis sont atteints grâce à une suite d’activités planifiées et budgétisées. Les dépenses ministérielles liées à la GI-TI doivent toujours tenir compte des besoins opérationnels internes et du programme gouvernemental en matière de services partagés, et chaque projet entrepris doit avoir un lien avec les buts et objectifs du plan stratégique et d’investissement en GI-TI de TC. 

Tableau 3

ÉLÉMENTS INFORMATIQUES MOTEURS

  • TC a élaboré un plan pour l’application des normes du SCT relatives à la GI (normes sur les métadonnées et les données géospatiales).
  • Intégration et consolidation de renseignements et de systèmes d’information existants
  • Mise en œuvre du système de renseignements d’affaires, y compris l’entreposage de données.
  • Regroupement des applications pour tous les modes de prestation au sein des SGA au cours des 18 prochains mois. Du personnel principal de GI-TI de tous les secteurs de TC sera graduellement transféré aux SGA.
  • Amélioration de la gestion des documents et de l’information.
  • Mise en œuvre de nouveaux dispositifs de sécurité et de mesures de protection, y compris les signatures électroniques.
  • Élargissement de l’utilisation des services électroniques en vue de servir les intervenants de l’extérieur.
  • Mise au point de l’infrastructure de communication sans compromettre la sécurité.
  • Évaluation de la capacité de traitement des renseignements « Protégé B ».
  • SPC est maintenant responsable des secteurs clés de la GI-TI, notamment le déploiement, l’entretien et le soutien des systèmes de courrier électronique, des centres de données et des infrastructures de serveurs/infrastructures principales.

4.  CHANGEMENTS ET PROJETS PRÉVUS

Les capacités projetées en GI-TI de TC sont les suivantes :

  • La capacité et la technologie de l’infrastructure réseau de l’intranet de TC sont continuellement mises à jour afin de répondre à des besoins fonctionnels changeants (p. ex., prise en charge d’une combinaison de technologies sans fil, vocales, de données et vidéo).
  • Les services logiciels sont exécutés uniformément et efficacement.
  • Il existe une manière commune de s’assurer que les applications sont sécurisées.
  • Un modèle précis de gouvernance, de gestion et de responsabilisation à l’égard de la GI-TI est en place et évolue avec les changements liés à la gouvernance des activités.
  • Des ententes sur les niveaux de service (ENS) sont en place afin d’assurer l’uniformité et le caractère mesurable des services de GI-TI offerts.
  • Une stratégie de GI, largement adoptée, est en place à l’échelle du Ministère.
  • Un cadre de gestion de données et une feuille de route sont en place pour diriger l’évolution de la GI.
  • Il existe suffisamment de personnel qualifié en GI-TI pour maintenir et faire évoluer l’environnement de GI-TI en fonction des besoins fonctionnels. On privilégie la planification de la relève pour faire contrepoids aux départs à la retraite.
  • Une méthode de gestion du cycle de vie est utilisée à l’échelle du Ministère pour tenir à jour les ordinateurs de bureau, les serveurs et les logiciels connexes.
  • D’anciens et de nouveaux systèmes d’applications sont intégrés et interopérables.
  • Les outils de gestion des documents électroniques du Ministère seront entièrement intégrés aux applications et feront partie intégrante de la façon dont les gens mèneront leurs activités.
  • La philosophie selon laquelle l’information est considérée comme un bien de valeur sera ancrée dans la culture de TC afin d’encourager le partage et la réutilisation de l’information.
  • De solides pratiques de GI et de tenue des dossiers font partie des processus administratifs normaux de TC. Cela comprend la formation des employés nouveaux et actuels de TC sur les rôles et les responsabilités du groupe Gestion de l’information.
  • Tous les processus de gestion de l’information et de tenue des dossiers sont entièrement intégrés les uns aux autres et aux systèmes d’applications.
  • TC est un organisme axé sur l’apprentissage où la gestion des connaissances joue un rôle essentiel.
  • L’utilisation de l’annuaire de TC sera complètement intégrée à tous les processus et à toutes les applications de TC.
  • Un seul moteur de recherche est utilisé pour le contenu Web.
  • Une solution unique est utilisée pour la gestion du contenu des environnements intranet et Internet.
  • Des normes communes sont appliquées dans les secteurs de l’information, des applications, de la technologie et de la sécurité.
  • Un modèle d’information ministérielle est en place. On va de l’avant avec l’acquisition et la mise en œuvre d’un référentiel de métadonnées.
  • Un logiciel de renseignements d’affaires et de production de rapports est utilisé à l’échelle du Ministère pour la production de tous les rapports de TC.
  • Les responsabilités en matière de GI font partie des accords de responsabilité des cadres supérieurs de TC.
  • Un portail d’accès interne (intranet) permet aux employés d’accéder à tous les renseignements liés à leur travail.
  • L’outil de gestion automatisée des systèmes de TC, HP Service Manager 7, est fondé sur le système ITIL (bibliothèque d’infrastructure des TI). Il est utilisé à l’échelle nationale pour la gestion de toutes les demandes de modification et de tous les problèmes de système. On utilise ce système à TC depuis environ trois ans.
  • La technologie de stockage automatisé de courriels de TC, connue sous le nom de Evault, permet de mieux gérer les données non structurées stockées dans les boîtes aux lettres et dans les fichiers PST hors ligne de MS Exchange.
  • On fournit aux travailleurs mobiles, comme les inspecteurs, des services mobiles plus complexes qui sont accessibles sur ordinateur portable. Ceux-ci nécessiteront de nouveaux services de communication, y compris des services par satellite, par câble à haute vitesse et par d’autres moyens. Des appareils portatifs et des solutions sans fil seront également nécessaires.
  • Les sites Internet et intranet actuels évoluent et passent de pages statiques à des pages transactionnelles, alors que le contenu destiné à une utilisation interne et externe augmente. TC prévoit le déploiement de nouvelles applications libre-service et d’une infrastructure habilitante pour soutenir le programme en matière de services électroniques (prestation de services externes).
  • On appliquera des principes de saine gestion de l’information au CGA et au cycle chronologique de l’élaboration des systèmes de Macroscope.
  • Le cadre de gestion des projets de GI-TI a été élaboré et adopté.
  • Les pratiques en matière de planification des activités et les analyses de rentabilisation de TC comporteront des exigences relatives à la GI.

 

Liste des projets de la GI-TI en cours pour l’exercice 2012-2013 :

AVIATION CIVILE

1. Système de gestion des renseignements relatifs à la sécurité aérienne nationale (SGRSAN) (8449) – Ce projet a permis aux agents de programme de l’aviation civile d’avoir un accès centralisé aux renseignements relatifs à la sûreté d’un certain nombre de sources différentes et il a permis de mettre en relation ces éléments de renseignements avec les intervenants de l’aviation civile et les activités de programme. Grâce à ce projet, l’aviation civile est passée du simple partage de données à l’intégration de données au niveau opérationnel. Il est nécessaire de moderniser les outils de gestion des bases de données et des données au sein d’un système de gestion des données commun qui respecte les exigences de la direction générale intégrée et de miser sur les fondements déjà établis pour ajouter les fonctionnalités suivantes :

  • remplacer et améliorer plusieurs applications régionales et fournir des renseignements essentiels pour guider les activités de programme;
  • renforcer le soutien lié au Système de gestion des renseignements relatifs à la sécurité aérienne nationale en créant des moyens automatisés de créer et de publier des documents;
  • accroître le soutien du Système de gestion des renseignements relatifs à la sécurité aérienne nationale en fournissant des utilitaires de gestion des risques et de planification;
  • accroître l’intégration avec d’autres systèmes de l’aviation civile, notamment le Système de comptes rendus quotidiens des événements de l’aviation civile (SCREAQ), le Système de signalement des questions de l’Aviation civile (SSQAC), le système d’Avis de proposition de modification (APM) et le Système informatisé de gestion de l’application de la loi (SIGAL) pour améliorer la coordination et l’efficacité;
  • accroître l’intégration avec les programmes ministériels, notamment le SGDDI et ccmMercury, afin d’améliorer l’efficacité du processus de gestion des documents au sein de l’aviation civile.

2. Infrastructure du renseignement d’affaires en aviation (IRAA) (8462) – L’objectif du projet est de mettre au point une infrastructure qui fournira les outils nécessaires à la Division de l’analyse de la sécurité aérienne pour qu’elle produise et réalise des analyses complètes et des rapports d’une manière plus rentable, plus efficace et plus accessible à tous les intervenants de l’aviation civile. Le projet aura pour résultat la mise en place d’un outil afin d’aider à la prise de décisions relatives à l’élaboration des politiques, de la réglementation et des normes. Il simplifiera le processus par lequel les analyses sont effectuées et les résultats sont communiqués, ce qui augmentera la productivité et évitera des coûts pour tous les intervenants de l’aviation civile. L’infrastructure permettra à différents types d’usagers d’utiliser des interfaces différentes et améliorera les capacités de recherche ponctuelle. Elle permettra aussi le partage et la diffusion des analyses et des rapports. La mise au point de cette infrastructure permettra également de diminuer la duplication de l’information et d’augmenter la capacité d’effectuer des analyses à partir de renseignements provenant de systèmes séparés.

3. Système d’information national des compagnies aériennes (SINCA) (8771) – L’objectif de ce projet est d’améliorer le SINCA en vue de changements importants à la présentation et aux éléments essentiels des Certificats canadiens d’exploitation aérienne (CEA) et aux exigences opérationnelles connexes relatives à toutes les opérations aéronefs à voilure fixe et à voilure tournante autorisées en vertu des parties VI et VII du Règlement de l’aviation canadien (RAC). Ce projet découle des révisions approfondies effectuées aux Normes et pratiques recommandées (SARP) de l’Organisation de l’aviation civile internationale (OACI), notamment l’annexe 6 la partie I, Aviation de transport commercial international – Avions, et la partie III, Opérations internationales – Hélicoptères. On prévoit que ce projet permettra notamment de réaliser ce qui suit :

  • Continuer à respecter les obligations légales à titre de signataire de la Convention relative à l’aviation civile internationale en respectant les exigences des certificats d’exploitation aérienne et de l’harmonisation des exigences opérationnelles;
  • Adopter une taxonomie générale pour les aéronefs dont le soutien sera assuré par la CAST/ICAO (Commercial Aviation Safety Team) afin de déterminer la marque, le modèle, les renseignements sur l’appareil et les exigences opérationnelles. La nouvelle taxonomie permettra une harmonisation totale entre le SIRIACC et le SNICA en ce qui a trait aux certificats d’exploitation aérienne remis par le SNICA, l’exploration des essais de vol du FVEA, etc. (au minimum);
  • Soutenir les changements réglementaires des sections concernées des CARS;  atténuer tous les risques de mettre les exploitants aériens canadiens opérant à l’étranger dans une situation de non-respect des exigences internationales pendant la surveillance de routine effectuée par les autorités nationales de l’aviation à l’étranger;
  • Conserver la confiance des intervenants du Programme de l’aviation civile quant à la reconnaissance internationale des certificats d’exploitation aérienne canadiens et des exigences opérationnelles;
  • Conserver la confiance des États membres quant à la reconnaissance internationale des certificats d’exploitation aérienne canadiens et des exigences opérationnelles;
  • Améliorer de façon importante la fonctionnalité actuelle du SNICA, produire des certificats, des rapports et analyser les données;
  • ICAO a autorisé l’accès illimité aux données du registre international des exigences opérationnelles et relatives au CEAC aux fins de téléchargement, un atout essentiel pour poursuivre l’amélioration du programme des inspections à l’étranger;
  • Mettre en place un processus opérationnel rationnalisé résultant des changements des règlements, des fonctions et des technologies, et bénéficier d’un gain d’efficacité au travail.

4. Système de comptes rendus quotidiens des événements de l’aviation civile (SCREAQ) (8773) – Les accidents et les incidents signalés à Transports Canada chaque jour sont consignés dans le SCREAQ. Environ 30 événements sont signalés par l’entremise du SCREAQ chaque jour (soit en moyenne 10 650 signalements par an). Chaque rapport contient plus de 35 champs de données et des renseignements tels que les données sur les événements (un accident ou un incident, la date et l’heure de l’événement et le nom de la personne l’ayant signalé), les données liées à l’événement (un ensemble de différents événements qui ont entraîné l’événement final), les données sur l’appareil (le type d’aéronef, les renseignements sur le propriétaire et l’opérateur) et des données descriptives (un texte narratif qui décrit l’événement). À l’origine, le SCREAQ a été mis en place pour fournir rapidement à la haute direction des renseignements sur les événements opérationnels au sein du Système national de transport aérien civil (SNTAC). Le SCREAQ joue le rôle d’un système de notification précoce et sert également d’outil d’analyse. Les données issues du SCREAQ sont maintenant utilisées pour la détection précoce de dangers et de déficiences possibles au sein du système et l’évaluation des risques qui s’y rattachent.  

SÉCURITÉ MARITIME

5. Système de surveillance de la sûreté maritime (SSSM) (8640) – Le Système de surveillance de la sûreté maritime soutient les activités de publication et l’orientation stratégique de Transports Canada, conformément à ce qui est énoncé dans le document « Allons de l’avant - Changer la culture de sécurité et de sûreté - Orientation stratégique pour une gestion de la sécurité et de la sûreté » ainsi que dans le code ISM (International Safety Management) publié par l’organisation maritime internationale (IMO). En travaillant en partenariat avec les intervenants maritimes afin de leur déléguer l’inspection des navires, la Sécurité maritime soutient l’objectif de Transports Canada et du secteur visant à établir un système de transport sûr, sécuritaire, efficace et durable. Le SSSM permettra :

  • de fournir des moyens d’assurer un suivi de l’accréditation des intervenants auxquels des pouvoirs sont attribués afin de leur permettre de mener des inspections à titre de délégués, ce qui contribue à la transformation de nombreuses activités;
  • de saisir des données et de produire des rapports concernant la reddition de comptes et la mesure du rendement;
  • permettra d’évaluer la gestion du risque afin d’affecter les ressources de la sûreté maritime de façon plus efficace;
  • de mener de façon répétable, grâce à la Configuration de base de la sécurité maritime (CBSM), des activités de planification et de production de rapports concernant les exigences opérationnelles et du CRG, de l’AAP, du CGR et du SGS;
  • l’échange de renseignements à jour avec les intervenants tels que le SIE, la sécurité maritime, MPO et le secteur maritime par l’entremise des services Web de la CBSM;
  • d’établir la priorité de la charge de travail en fonction des risques;
  • permettra de procéder à des vérifications;
  • d’analyser les facteurs contributifs et sous-jacents des dangers, des menaces et des événements;
  • d’utiliser les ressources en fonction des risques;
  • de soutenir l’élaboration d’un programme d’inspection axé sur les risques et le rendement.

En raison de l’entrée en vigueur de la LMMC 2001, de la transition de Transports Canada vers une nouvelle culture de la sûreté et la sécurité, du mandat des Services généraux de migrer les applications ASP vers des applications .NET, de l’initiative du Conseil du Trésor en ce qui a trait au cadre de mesure du rendement et au cadre de responsabilisation de gestion et de gestion des risques, il est primordial que la sécurité maritime se dote d’une infrastructure d’applications dynamiques axée sur le SGI.  Le SSSM prendra en charge le SGI; il sera mis au point en même temps que le projet de CBSM afin d’assurer le regroupement des applications, l’uniformité de la conception architecturale et la durabilité.  

6. Système de délivrance de documents pour le personnel maritime (SDDPM) (8645) – La section Formation, examen et certification maritime est chargée d’élaborer et de mettre à jour les règlements, les examens et les normes de formation pour la certification des gens de mer. Elle délivre aussi des certificats de compétence aux gens de mer une fois que ceux-ci ont rempli les conditions et ont passé tous les examens correspondant au niveau de certification approprié. Le SDDPM est une solution pour la délivrance des documents maritimes suivants : certificat de compétence national (délivré par un examinateur ou un ministre), certificat de formation, certificat médical, livret de service et certificat d’équivalence. Le SDDPM a aussi été conçu dans le but de consolider et de mettre à jour le processus de délivrance des documents susmentionnés au moyen d’une seule application. On y parviendra en apportant des modifications au Système de délivrance de documents pour le personnel maritime afin que celui-ci soit compatible avec les nouveaux types de documents. Le processus uniforme et les données partagées ne seront pas touchés par les modifications. Ce projet est entrepris dans le cadre du mandat lié au Règlement sur le personnel maritime, qui donne à Transports Canada le pouvoir de délivrer ces documents. On conserve le dossier de tous les gens de mer qui font la demande ou qui sont titulaires d’un certificat de compétence.  

SÉCURITÉ FERROVIAIRE

7. Élaboration du système de données sur la sécurité ferroviaire, anciennement appelé passerelle intégrée du système ferroviaire (PISF) (8701) – Le modèle de la PISF est une série de modules entièrement intégrés pour le Programme de sécurité ferroviaire. Chaque module correspond à un secteur du programme et contient les systèmes de soutien nécessaires pour répondre aux exigences en matière d’exploitation et de production de rapports de la sécurité ferroviaire. Ce système national de données intégré permet de procéder à l’analyse des tendances, à la comptabilisation des ressources, à la gestion des risques, à la mesure du rendement et à la prise de décisions. Un système de données national et intégré permettra au Programme de sécurité ferroviaire de recueillir de l’information sur les vérifications et les inspections de façon à pouvoir mesurer la conformité de l’industrie ferroviaire aux règles et aux règlements, et à évaluer le niveau de risques pour la sécurité selon les différentes organisations. Les modules de planification fondée sur les risques, de SGS et de vérification et d’inspection des processus opérationnels permettront de détecter les problèmes de sécurité possibles avant qu’ils ne se concrétisent. Les modules relatifs aux avis et aux ordres indiqueront aux organisations de transport comment résoudre les problèmes avant qu’ils ne deviennent sérieux et le module de traitement des plaintes permettra au public d’informer Transports Canada des problèmes entre les vérifications et les inspections.

SÉCURITÉ ROUTIÈRE

8. Système de classification des vérifications de conformité (SCVC) (873W) – Transports Canada applique le Règlement sur la sécurité des véhicules automobiles en vertu de la Loi sur la sécurité automobile (LSA). Cette loi stipule que toutes les catégories de véhicules prescrites et l’équipement fabriqué ou importé pour le marché canadien doivent être conformes aux normes canadiennes sur la sécurité des véhicules automobiles. Le SCVC est une base de données dans laquelle les noms et adresses d’environ 6 000 entreprises sont consignés. Le SCVC contient notamment les données suivantes : inspections et vérifications passées, conversations téléphoniques passées, lettres échangées entre Transports Canada et les entreprises, catégories de véhicules ou équipement que les entreprises fabriquent ou importent, etc. Ces données sont essentielles pour l’intégrité de l’ensemble du programme de sécurité routière. Ce projet a pour but de remanier l’application logicielle actuelle afin d’en faire une technologie à jour appuyée par le Ministère. Il permettra d’assurer le soutien de l’application du SCVC dans les années à venir et favorisera une intégration plus efficace avec les autres systèmes actuels et prévus pour appuyer le mandat de la Sécurité routière. En outre, l’application remaniée sera conforme aux normes ministérielles en ce qui a trait à la modélisation des données et la conception de bases de données.

SOUTIEN DES PROGRAMMES DE SÛRETÉ

9. Cycle de vie du matériel de la plateforme du Système informatisé de dactyloscopie de Transports Canada (88A8)

Ce projet vise à acquérir et à installer du matériel de remplacement, y compris des serveurs pour soutenir le Système informatisé de dactyloscopie de Transports Canada. Ce matériel est destiné à remplacer la plateforme matérielle datant de 2003.

Les ententes annuelles sur l’entretien sont calculées en pourcentage du prix d’achat initial, conformément aux normes de l’industrie, Depuis 2003, date à laquelle la plateforme matérielle a été achetée, les coûts d’achat de l’infrastructure de remplacement ont nettement baissé. Cela signifie que les coûts inhérents à l’entente annuelle sur l’entretien pour le matériel de remplacement seront considérablement inférieurs à ceux de l’entente actuellement en vigueur. L’objectif de ce projet est de remplacer le matériel vétuste et de réaliser, par la même occasion, des économies importantes résultant de la période de garantie d’un an et de la diminution des coûts d’entretien annuels.

10. Systèmes de télécommunications sécurisés (88A5) – Les Préparatifs d’urgence de Transports Canada englobent le processus de gestion des urgences du Ministère. À ce titre, le Centre d’intervention de Transports Canada (CITC) devient le principal point de liaison lorsqu’une urgence se produit. La nature du travail dont s’occupent les Opérations de contingence de l’Aviation civile (OCAC), les Opérations de la sûreté aérienne, le CITC et la Sécurité maritime a considérablement changé au cours des cinq dernières années, puisqu’il faut traiter les événements de sécurité et de sûreté d’une manière globale du point de vue de la sûreté et de la sécurité. La mise en place de l’Infrastructure du réseau secret consolidé (IRSC) et du système de contrôle des batailles (BCS/RTAP) garantira que nous avons connaissance des données secrètes sur les interceptions tactiques d’aéronefs civils par l’armée et nous permettra de travailler efficacement avec la GRC et le MDN afin de garantir la sûreté et la sécurité des voyageurs. Elle permettra à Transports Canada de gérer plus efficacement les différentes situations d’un point de vue stratégique, aidera à la prise de décisions et garantira que notre efficacité n’est pas compromise en raison d’un manque d’information lorsque nous participons aux exercices de l’opération Noble Eagle dans le cadre des téléconférences sécurisées sur le réseau commuté rouge de la Défense canadienne. Ce projet consiste à acquérir, mettre en œuvre et installer des systèmes de télécommunications sécurisés (niveau secret), y compris les serveurs, les ordinateurs (qui sont tous protégés par Tempest), les périphériques et les logiciels et licences nécessaires.

TRANSPORT DE MARCHANDISES DANGEREUSES

11. Système d’information du CANUTEC (SIC) (8766) – Le CANUTEC est le Centre canadien d’urgence transport ouvert en permanence et administré par Transports Canada pour assister le personnel d’intervention d’urgence qui s’occupe d’urgences relatives au transport de matières dangereuses. Le CANUTEC est un des principaux programmes mis sur pied par Transports Canada pour promouvoir la sécurité publique lors du transport de personnes et de marchandises au Canada. Le personnel scientifique du CANUTEC prodigue des conseils sur-le-champ et recommande les mesures à prendre lors d’urgences relatives à des matières dangereuses. Le SIC permettra au CANUTEC de gérer les enregistrements d’entreprises et les ressources d’information. Ce projet comporte deux volets

  1. Système d’enregistrement du CANUTEC (SEC)
    Le SEC est utilisé pour saisir et gérer les données d’enregistrement des entreprises inscrites pour utiliser le numéro de téléphone du CANUTEC à titre de numéro d’urgence accessible 24 heures sur 24 et pour indexer et gérer les fiches signalétiques (FS) que ces entreprises doivent soumettre dans le cadre du processus d’inscription. Ces données forment la base de données des personnes-ressources du CANUTEC à joindre en cas d’urgence. L’application doit être remaniée en permanence afin de résoudre les problèmes techniques critiques et les problèmes de compatibilité liés aux normes ministérielles, pour intégrer les nouvelles exigences liées aux utilisateurs et pour adapter le modèle de données et le code de programme aux normes de GI-TI de Transports Canada.
  2. Interface Internet
    Un processus d’inscription en ligne permettrait aux expéditeurs de remplir le formulaire d’inscription et de télécharger leurs fiches signalétiques (FS) par voie électronique sur le site Web du CANUTEC. Une fois l’information nécessaire reçue, un message d’approbation accordant le droit d’utiliser le numéro d’urgence du CANUTEC serait envoyé à l’expéditeur avec un code d’accès lui permettant de parcourir et de modifier son dossier d’inscription et les données d’indexation de sa fiche signalétique. Des rappels automatiques seraient également envoyés afin de rappeler aux entreprises qu’elles doivent veiller à mettre leurs données à jour. Cela permettrait aux expéditeurs de marchandises dangereuses et au CANUTEC de gagner du temps au moment des inscriptions et cela permettrait de réduire la manipulation manuelle des données pour les employés de bureau. Un prototype a été mis au point et la nécessité d’une interface Internet a été intégrée à la DP dans le cadre de la modification du SEC.

 12. Projet de refonte du Système automatisé du plan d’intervention d’urgence sur le TMD (SAPIU) (A161) – La Direction de la conformité et des interventions est chargée d’émettre des directives qui favorisent la conformité dans l’exécution des programmes régionaux. L’application existante du Système intégré d’information (SII) ne répond plus aux besoins des utilisateurs et ne respecte plus les normes ministérielles en matière d’élaboration de base de données ou d’architecture d’application. L’application logicielle est désuète et le maintien du fonctionnement de l’application avec le matériel et les logiciels actuels pose d’importantes difficultés techniques. Il faut un outil de travail plus efficace, mais doté d’une interface plus conviviale et plus claire, et fondé sur une technologie de pointe. En outre, les inspecteurs à l’échelle nationale veulent être en mesure d’utiliser cet outil dans un environnement de télétravail et de fournir les données liées aux indicateurs de rendement, aux taux de conformité et à la gestion du risque.

FINANCES ET ADMINISTRATION

13. Mise à niveau de la planification des ressources de l’entreprise (PRE) – Oracle 12/Fusion (6838) – La planification des ressources de l’entreprise (PRE) de Transports Canada constitue la structure de base des fonctions financières et administratives du Ministère. Les applications et l’ensemble de livres officiel pour la comptabilité financière sont gérés par Oracle. Il met aussi une suite d’applications administratives au service des employés et des clients de Transports Canada. Depuis sa mise en œuvre en 1994, le système a essentiellement suivi un cycle de vie de cinq ans pour que la technologie demeure à jour, qu’elle soit fiable et qu’elle réponde toujours aux besoins du Ministère. Par conséquent, les applications Oracle font partie intégrante des opérations et de la prestation des services ministériels. Les processus opérationnels communs ont été intégrés à la solution partagée d’Oracle Financials R12, ce qui signifie que Transports Canada et ses cinq ministères partenaires utiliseront les mêmes processus opérationnels, ce qui offre des avantages comme des contrôles financiers uniformes et efficaces, et la simplification des efforts de vérification, et permet de dresser des états financiers vérifiables. La mise à niveau d’Oracle 12, qui comprend les correctifs de sécurité nécessaires, est une mise à niveau technique considérée essentielle pour le maintien des applications et pour que le Ministère puisse continuer à répondre aux besoins de ses employés, de ses clients et des organismes centraux.

14. Bouton Achat du receveur général (BARG) (689A) – Le BARG est un service de paiement en ligne mandaté (le 30 septembre 2011) par le receveur général pour tous les ministères qui acceptent les paiements par carte de crédit sur Internet. Les ministères doivent mettre en œuvre cette solution d’ici avril 2012. Transports Canada accepte déjà les mécanismes de paiement par carte de crédit sur divers sites Web destinés au public. Le traitement des cartes de crédit par la suite logicielle de commerce électronique est actuellement géré grâce à la             fonction des paiements de la suite de modules Oracle. Grâce à l’interface du BARG, Transports Canada n’aura plus à saisir et enregistrer les données des cartes de crédit à partir des transactions en ligne. Le BARG collectera ces données et obtiendra les autorisations nécessaires pour le compte de Transports Canada. Il garantira l’enregistrement sécurisé des données des cartes de crédit et des données de transaction pour le compte de Transports Canada qui, par conséquent, ne conservera plus les données des cartes bancaires. Conformément aux annonces récentes du receveur général, l’utilisation du bouton Achat du receveur général est obligatoire.

15. Système de facturation Havres et Ports (2566) – Dans le cadre de la mise en place de mesures d’efficience interne au niveau de la direction générale de Finances et administration (en lien avec le Plan d’action de réduction du déficit / Deficit Reduction Action Plan), il a été décidé de centraliser la facturation des services portuaires au bureau des services comptables de la région du Québec. La région du Québec utilise un système régional de facturation, SIHP (Système informatique Havres et Ports), développé localement en 1996. Ce système, en plus de faciliter le processus de facturation des services portuaires, permet de produire facilement des rapports détaillés sur les opérations, ce qui n’est pas possible lorsque les services sont facturés en utilisant le module de « facturation diverse » (miscellaneous invoice) dans le système financier Oracle.

Malheureusement, le système SIHP a été développé en 1996 avec les langages de programmation en place à cette époque. Depuis sa mise en place, ce système a été entretenu et mis à jour de façon minimale. Les différentes migrations de versions de la base de données Oracle ont occasionné certaines anomalies de fonctionnement et ont affecté la performance et la stabilité du système. Dans le cadre d’une utilisation régionale, cela est tolérable.  Cependant, le système actuel n’est pas en mesure de supporter la totalité du volume national. De    plus, le système SIHP, étant développé que pour supporter les niveaux de taxations du Québec, n’est actuellement pas en mesure de supporter d’autres types de taxes (TVH) et plusieurs taux différents. Le système SIHP n’est pas intégré au système financier Oracle. Ainsi, afin de maintenir les données financières à jour, il faut entrer manuellement dans le système financier Oracle toutes les informations nécessaires à la gestion des comptes clients. Ainsi, l’objectif avec ce projet est d’obtenir un système de facturation et de production de rapport d’activités des services portuaires, comme le SIHP, mais qui soit moderne, stable et capable de supporter l’ensemble des activités nationales et les divers taux de taxation et qui ait la capacité d’avoir une interface avec le système financier Oracle. Les revenus des services portuaires se chiffraient en 2010-2011 à envron 5,5 millions de dollars (6 400 transactions) pour l’ensemble du ministère. À la suite d’une analyse préliminaire des options pour la facturation des services portuaires (SGDDI #6974475), laquelle analyse a été produite par les services informatiques de la région du Québec, l’option qui s’avère la plus avantageuse est l’acquisition du logiciel de facturation Pro-Navire version 3.0 de la firme Progitech.

Direction générale des services de gestion de la technologie et de l’information (DSGTI)

16. Collaboration / Web 2.0 (67A8) - Le projet procurera à Transports Canada l’infrastructure et le soutien nécessaires pour fournir aux secteurs d’activité ministériels la capacité de participer à des échanges interactifs d’information sur le Web avec des intervenants internes et externes (autres ministères, partenaires des secteurs public et privé, grand public). La suite complète d’outils Web 2.0 facilitera considérablement la mise en place des outils de collaboration qui permettront au Ministère et à ses intervenants (externes et internes) d’améliorer leur façon de travailler ensemble en vue d’atteindre leurs objectifs opérationnels.

17. Outil de surveillance du rendement des applications (67C6) – Le but de ce projet consiste à doter Transports Canada d’un outil de surveillance de la performance des applications permettant une détection dynamique des problèmes touchant les applications Web, de déterminer leurs causes profondes et de les résoudre rapidement. L’outil sera utilisé dans tous les environnements de l’infrastructure Web (intranet, Internet, sécurisé, acceptation et production).

POLITIQUE

18. Dictionnaire des objets du transport (DOT) (7421) – Le DOT vise à mettre en place un pont d’accès aux bases de données entre de nombreux systèmes de Transports Canada et des sources de données externes. Le projet a pour objet principal d’harmoniser et d’intégrer logiquement différents systèmes d’information. On prévoit qu’une intégration plus poussée se traduira par une augmentation de la capacité du Ministère à répondre de façon dynamique aux problèmes et à formuler des réponses rapides et précises de manière rentable. Au début, le projet portait sur le transport aérien; puis, une première étude a permis de repérer 100 bases de données indépendantes au sein de Transports Canada, ce qui limitait considérablement la possibilité de partage et de normalisation des données. La portée du projet est multimodale et englobera les attributs suivants : transporteur, emplacement, occurrence, marque/modèle, certificat et permis d’exploitation. Le projet vise à répondre à la nécessité réelle de rassembler l’information disponible par l’intermédiaire de plusieurs groupes d’applications ou de bases de données, en vue de répondre aux besoins opérationnels du Ministère sur les plans de la politique, de la sécurité et de la sûreté.

19. Indicateur de fluidité et de coût total de la logistique (7438) – Création d’un indicateur national de fluidité et de coût total de la logistique. Ces indicateurs aident les décideurs (publics et privés) à comprendre l’efficacité (temps et coûts) du réseau de transport canadien entre des paires de villes aux fins d’élaboration de politiques et d’optimisation des possibilités d’affaires quotidiennes. Chaque indicateur est lié à un algorithme sur lequel reposent tous les calculs relatifs aux valeurs de l’indicateur. Ces indicateurs sont hypothétiques et constituent le point de départ pour des recherches visant à élaborer des versions permanentes pour le marché du transport au Canada. À ce titre, ce projet comporte un volet important de R et D associé à la validation de ces algorithmes, de leurs hypothèses, leurs contributions et leur approche mécanique pour évaluer le secteur au Canada.

20. Outils et systèmes de modélisation et de prévision (7439) – La Direction générale de l’analyse économique a le mandat de procéder à des recherches socio-économiques et à des analyses économiques, de faire des prévisions, d’élaborer des modèles et de recueillir et de gérer les données relatives au transport. Le financement approuvé en septembre 2010 visait à étendre la capacité de modélisation de Transports Canada afin d’inclure les passagers et le fret dans tous les modes de transport. À l’heure actuelle, cette fonction existe uniquement pour le transport des passagers aériens. À ce jour, le projet a permis de produire quatre documents contenant respectivement des prévisions pour le charbon, les grains céréaliers, le bois et la potasse. Ces produits représentent une partie importante des marchandises qui circulent par la porte d’entrée du Pacifique. À l’avenir, nous regrouperons les quatre documents (charbon, céréales, bois et potasse) afin de produire une analyse des répercussions de ces exportations sur le système de transport. À noter que nous nous efforcerons également de commencer à intégrer ce travail avec nos capacités actuelles dans le secteur de l’aviation et nous reverrons dans le même temps certains des modèles existants accessibles. L’objectif visant à établir un lien entre ce travail et la fonction de l’aviation est cohérent avec le document d’approbation de projet qui visait à « étendre la capacité de modélisation de Transports Canada afin d’inclure les passagers et le fret dans tous les modes de transport ».

PROGRAMMES

21. Système d’infrastructures routières (SIR) (941F) – Ce projet vise à mettre en œuvre un système centralisé et entièrement exploitable sur le Web pour la gestion de l’information sur les accords de contribution, les contrats et les demandes de remboursement concernant les projets de la direction. Les utilisateurs pourront partager plus facilement leur information, améliorer la qualité de l’information partagée, effectuer plus efficacement certaines tâches et aider les gestionnaires à surveiller l’exécution des projets de plus près. Ce projet fournira aussi les outils permettant aux gestionnaires de programmes et aux administrateurs généraux d’analyser le résultat des activités en appui aux objectifs en matière de mesure du rendement. Le SIR :

  • offrira plus de souplesse en ce qui a trait à la définition des composantes des accords de contribution;
  • permettra la production de rapports par programme de financement;
  • nécessitera la mise en œuvre de règles opérationnelles relatives à l’enregistrement de l’information à l’étape initiale;
  • englobera une variété de projets d’infrastructure et de types d’ententes autres que les accords de contribution;
  • offrira de la souplesse en ce qui concerne la production de rapports pour mieux répondre aux demandes ponctuelles des gestionnaires de projet;
  • contiendra les résultats des processus de consultation préalable des Autochtones, les évaluations environnementales et la gestion des risques;
  • sera doté des fonctions de production de rapports requises.

Le SIR soutiendra directement l’exécution d’un ensemble de programmes de financement en appuyant le Plan d’action économique du Canada, les stratégies clés du gouvernement du Canada pour l’amélioration de notre réseau national de transport et d’autres infrastructures stratégiques.

22. Système d’information sur les émissions des locomotives (B725) – Le projet de mise au point d’un système d’information sur les émissions des locomotives est nécessaire pour soutenir le nouveau règlement sur les émissions de contaminants des locomotives. La création de ce système permettra au Ministère d’accomplir facilement ses tâches réglementaires, comme la surveillance de la conformité de l’industrie aux nouveaux règlements, facilitera l’établissement des réductions d’émissions de contaminants annuelles du secteur ferroviaire et soutiendra directement toutes les activités d’application de la loi visant à garantir la conformité aux règlements. Ce projet soutient directement le programme relatif à l’air pur du gouvernement fédéral en soutenant les cadres juridique et réglementaire pour contrôler les émissions du secteur des transports et surveiller la conformité de l’industrie aux obligations réglementaires. Ces activités correspondent aux objectifs ministériels et aux activités touchant aux émissions des transports. Les principales réalisations attendues sont la création d’un système de production de rapports automatisé en appui au nouveau règlement sur les émissions des locomotives, y compris des modules pour la surveillance, l’analyse et la vérification de la conformité de l’industrie, et pour la tenue des dossiers de non-conformité en vue de mesures disciplinaires possibles, la mise en place d’une interface en ligne conviviale permettant de mieux gérer les données soumises par l’industrie, une réduction des coûts, l’amélioration de l’efficacité globale de Transports Canada et de l’industrie, et la mise en place d’un mécanisme d’échange sécuritaire de données et d’analyses avec l’industrie.

COMMUNICATIONS

23. Mise en œuvre du système de gestion du contenu Web de l’intranet (SGCW) (6238) – Le projet de mise en œuvre du SGCW fournira aux propriétaires et aux créateurs de contenu un soutien automatisé permettant de concevoir et de gérer efficacement une présence de plus en plus complexe et importante sur le Web, et réduira la dépendance aux processus manuels. L’utilisation d’un modèle commun produit par le SGCW augmentera aussi la précision des recherches, puisque les métadonnées obligatoires font partie du modèle et sont mises en application par le SGCW. Lorsque les mêmes métadonnées seront utilisées pour l’ensemble du contenu Web de Transports Canada, il sera possible de se concentrer sur l’optimisation du moteur de recherche, ce qui donnera des résultats de recherche en ligne uniformes et liés de façon pertinente aux clés de recherche. Le fait de pouvoir adapter et préciser les résultats de recherche contribuera à accroître la productivité des employés.

SERVICES PARTAGÉS CANADA (SPC)

24. Expansion du service de vidéoconférence à l’échelle nationale (67C8) – Nous arrivons à la troisième année d’un programme triennal visant à moderniser et étendre le service de vidéoconférence, qui s’appelle désormais « VideoNet de TC ». La partie relative à la modernisation est terminée. Les nouveaux points d’extrémité (environ 50) et l’infrastructure de VideoNet sont désormais conformes à la stratégie de Services partagés Canada relativement à la téléprésence à l’échelle du gouvernement. Au cours de cette année, nous ajouterons un certain nombre de nouveaux points d’extrémité, une évaluation sera menée et une DP pourra être envisagée afin de répondre aux demandes ayant trait aux années futures.

5.  POSSIBILITÉS D’AFFAIRES

Le tableau 4 résume les possibilités d’affaires au sein du Ministère.

  • Il est nécessaire d’engager régulièrement des consultations. Parmi les domaines visés, on retrouve :
    • Soutien technique pour le réseau local et les ordinateurs de bureau;
    • Soutien technique à l’agent du Centre de services
    • Mise au point et maintien des applications
    • Réalisation de sites Web et publication en ligne
    • Gestion des systèmes
    • Gestion des problèmes et du changement
    • Entreposage de données
    • Renseignements d’affaires
    • Gestion de l’information
    • Gestion des données
    • Soutien technique des sites Internet et intranet
    • Gestion des documents et des formulaires électroniques
    • Sécurité de la GI-TI (y compris l’élaboration des EMR)
    • Évaluation des technologies émergentes
    • Planification stratégique
    • Élaboration de demandes de proposition en GI-TI
    • Gestion de projet
  • Le matériel et les logiciels des systèmes actuels du Ministère devront être mis à niveau.
  • La planification est en cours pour modifier le matériel et les logiciels des ordinateurs de bureau (la planification de l’infrastructure des serveurs relève désormais de SPC).
  • Modification et amélioration du système de gestion des finances et du matériel Oracle ERP.
  • Modification et amélioration du système de gestion des applications des ressources humaines (SIPT) pour qu’il réponde aux normes de la LMFP et LEFP et soit plus efficace.
  • Mise en œuvre d’initiatives de GI-TI liées aux programmes.
  • SPC pourrait réaliser un examen opérationnel afin d’adopter des pratiques exemplaires en matière de réseaux de stockage
  • Étendre l’infrastructure actuelle pour améliorer la collaboration (p. ex., Web 2.0) et l’échange sécuritaire de l’information.

TABLEAU 4

  • Il est nécessaire d’engager régulièrement des consultations techniques et stratégiques sur les applications.
  • Le matériel et les logiciels des systèmes actuels du Ministère devront être mis à niveau.
  • On a commencé à planifier la modernisation et le remplacement des serveurs, du matériel électronique de bureau et des logiciels.
  • Étendre l’infrastructure actuelle pour améliorer la collaboration (p. ex., Web 2.0) et l’échange sécuritaire de l’information.
  • Mener des activités de GI à l’appui de la politique sur la GI du GC.
  • Mise en service d’un nouveau logiciel de gestion du contenu Web.
  • Mise en œuvre de nouvelles initiatives liées aux programmes (services électroniques internes et externes).